DÉVOTION JOURNALIÈRE Du 6 Février 2025 LA FOI APOSTOLIQUE Référence biblique : Josué 13 : 1 – 33

DÉVOTION JOURNALIÈRE Du 6 Février 2025 LA FOI APOSTOLIQUE Référence biblique : Josué 13 : 1 – 33

mars 29, 2025

DÉVOTION JOURNALIÈRE

Du 6 Février 2025

LA FOI APOSTOLIQUE

Référence biblique : Josué 13 : 1 – 33

« Et divise maintenant ce pays par portions entre les neuf tribus et la demi-tribu de Manassé. » (Josué 13 : 7)

Mon père a quitté le Moyen-Orient pour s’installer aux États-Unis, où il était issu d’une longue lignée de propriétaires terriens. Ces terres étaient principalement constituées de vignobles.

Je suis certain que les générations successives ont transmis ces terres à leurs enfants et que ceux qui en ont hérité en ont pris soin. Bien que mon père soit initialement venu aux États-Unis pour étudier, il est resté et a épousé ma mère.

Peu de temps après ma naissance, mon père est décédé. Bien que je ne me souvienne pas beaucoup de lui en raison de mon jeune âge, je me souviens d’avoir entendu parler de « la terre ».

Mon oncle discutait de « notre terre » avec mon frère aîné. La discussion portait généralement sur la question de savoir si nous devions la garder ou la vendre.

Comment est-elle devenue « notre terre » ? Lorsque mon grand-père a divisé sa terre, il a donné à chacun de ses enfants une portion. La part de mon père est devenue la nôtre à sa mort.

La terre était quelque chose dont nous avions hérité. C’était quelque chose qui nous avait été promis, par l’intermédiaire de mon père.

Tout le chapitre 13 de Josué traite de la Terre « promise ». Une partie de ces terres avait déjà été conquise, mais une autre devait encore être revendiquée. Josué devait répartir ces terres entre ceux à qui elles avaient été promises. Le partage des terres fut ensuite consigné afin d’éviter toute confusion.

Nous n’avons pas tous une terre qui attend d’être revendiquée, mais nous avons des victoires spirituelles que Dieu nous a promises.

Contrairement à la terre que Josué divisait, nous pouvons tous participer pleinement aux bénédictions accordées par Dieu.

La guérison n’est pas limitée à la famille Jones, ni le salut aux Jacob. Chaque promesse que Dieu a faite dans Sa Parole est destinée à tout le monde. Tout ce que nous avons à faire
c’est de croire !

La connaissance de ces promesses est un héritage que nous pouvons transmettre à nos enfants, tout comme il nous a été transmis.

CONTEXTE

Ce chapitre commence par une déclaration du Seigneur : « Josué était vieux et avancé en âge, et l’Éternel lui dit : Tu es vieux et avancé en âge, et il reste encore beaucoup de pays à posséder » (Josué 13 : 1).

Beaucoup estiment que Josué approchait les cent ans à ce moment-là. Il avait 110 ans lorsqu’il est mort.

Bien que tout le pays n’ait pas été conquis, Dieu ordonna à Josué de diviser tout le pays, comme s’il disait : « Il sera à toi ».

Il est mentionné à deux reprises dans ce chapitre que la terre ne sera pas donnée à la tribu de Lévi. Cette tribu était vouée au service de Dieu, et Dieu était son héritage.

Les Lévites avaient besoin de temps et de la possibilité de se déplacer, ce que ne leur permettrait pas le statut de propriétaires terriens. Dieu a demandé aux autres tribus de répondre aux besoins des Lévites par des dons.

Josué 13 : 13 identifie clairement la raison pour laquelle les Israélites ont eu tant de difficultés à coloniser le pays. Ils n’ont pas réussi à conquérir entièrement le pays et à en chasser tous les habitants. La présence des peuples païens restants de Canaan était comme une maladie, causant des difficultés sans fin aux Israélites.

REGARDER DE PLUS PRÈS

1. Pourquoi Josué a-t-il été si précis dans le partage du pays ?

2. Pourquoi les membres de la tribu de Lévi n’ont-ils pas reçu de terres en héritage ?

3. Comment pouvez-vous appliquer le concept de revendication d’un héritage à votre vie spirituelle ?

CONCLUSION

Ce chapitre nous donne une explication claire des terres dont chaque tribu devait hériter. La Bible nous donne de nombreuses promesses de bénédictions dont nous pouvons hériter en tant qu’enfant de Dieu.